< !DOCTYPE html PUBLIC "-//W3C//DTD XHTML 1.0 Transitional//EN" "http://www.w3.org/TR/xhtml1/DTD/xhtml1-transitional.dtd"> La Quotidienne d'Agora http://click.agora-france.com/t/Aw/EdE/EmY/AAOTSw/DfA/NzY3N3xodHRwOi8vc3VydmV5cy5oYXJyaXNwb2xsb25saW5lLmNvbS93aXgvcDM1NTUwMjE3Ni5hc3B4P2w9MTImc2l0ZT1rdGEwNTJpbWgmdGRiPTQ./AQ/ayJL Vendredi 13 décembre 2013 Qui veut encore de la dette des Etats ? Eberhardt Unger Qui veut encore de la dette des Etats ? Eberhardt Unger L'offre et de la demande de titres obligataires dans le monde sont estimées pour 2014 à environ 2 000 milliards de dollars (source : J.P. Morgan). Le graphique ci-dessous concernant la demande montre pourquoi les marchés réagissent si nerveusement à une possible réduction du quantitative easing . Les banques centrales ont acheté en 2013 pour 1 600 milliards d'obligations, soit plus de la moitié de la demande totale. Par contre, les banques commerciales, qui formaient le groupe le plus important d'acheteurs en 2007/2008, sont devenues en 2013/2014 des vendeurs d'obligations. Bien que, compte tenu des taux sur le marché monétaire, les coûts de refinancement soient extrêmement faibles, elles essayent d'échapper au risque de moins-values qui, aux taux de rendement actuels, leur semble bien trop grand. URGENT : Cette nouvelle technologie est sur le point d'inonder les e-commerces et les rayons de supermarchés pour un tarif inférieur à 300 euros : INVESTISSEZ avant décembre 2013 ! http://click.agora-france.com/t/Aw/EdE/EmY/AAOTSw/DfA/MjgxOTh8aHR0cHM6Ly9zZWN1cmUucHVibGljYXRpb25zLWFnb3JhLmZyL05USTIyL0VOVElQQzA0L2luZGV4Lmh0bT9wYWdlTnVtYmVyPTEmYT0zJm89NDU2MSZzPTQ3MTAmdT0yMzQzMTUmbD0yODE5OCZyPU1DJmc9MA./AQ/QbEY Il est difficile d'imaginer jusqu'où iront les rendements quand les banques centrales vont réduire sérieusement leurs achats mensuels. Du côté des emprunteurs, c'est le secteur public qui va dominer le marché avec une offre totale en 2014 de 1 800 milliards de dollars. En d'autres termes, les gouvernements émettent les obligations que les mêmes gouvernements achètent ! Comme la dette publique dans le monde est peu susceptible de baisser en 2014, les banques centrales devront continuer de financer ces dettes sinon les rendements vont fortement augmenter. Cependant, cette augmentation serait fatale pour les budgets publics et l'activité économique en raison du niveau absurdement élevé de la dette publique. Pour les gouvernements, le financement des déficits budgétaires par les banques centrales est le chemin le plus tranquille et le moins douloureux. Il serait incomparablement plus difficile de réformer et de couper dans les dépenses ou bien d'augmenter les impôts, ce qui ne pourrait déboucher que sur des manifestations de rue et de nouvelles élections au dénouement incertain. Conclusion : il est clair que la volonté de réformer des gouvernements diminue partout dans le monde. Les gouvernements et les banques centrales essayent seulement de gagner du temps et de reporter ainsi la solution du problème de la dette dans le futur, sur les prochaines générations. [J'ACCUSE ! Incompétence, irresponsabilité, manipulation, mauvaise gestion... Et en plus, ils voudraient que ce soit VOUS qui payiez ?!? Dites STOP et reprenez le pouvoir sur votre épargne ! Tous les détails sont ici http://click.agora-france.com/t/Aw/EdE/EmY/AAOTSw/DfA/MjgxOTl8aHR0cHM6Ly9zZWN1cmUucHVibGljYXRpb25zLWFnb3JhLmZyL1NTVzIyL0VTU1dQQzIyL2luZGV4Lmh0bT9wYWdlTnVtYmVyPTEmYT0zJm89NDU2MSZzPTQ3MTAmdT0yMzQzMTUmbD0yODE5OSZyPU1DJmc9MA./AQ/-ZMo ...] Vous recevez ce mail car vous êtes abonné à La Quotidienne d'Agora, publiée par Publications Agora France SARL. © Tous droits réservés 2013. Les informations contenues dans La Quotidienne sont uniquement données à titre informatif. Le lecteur reconnaît et accepte que toute utilisation du service et des informations le constituant, de même que toute décision relative à une éventuelle opération d'achat ou de vente de valeurs mobilières qu'il prendrait suite à ce message, sont sous sa responsabilité exclusive. Les informations données et les opinions formulées ne constituent en aucune façon des recommandations personnalisées en vue de la réalisation de transactions. De ce fait, la responsabilité de La Quotidienne d'Agora, de ses partenaires et de ses rédacteurs ne pourra en aucun cas être engagée en cas d'investissement inopportun. Nous conseillons à nos lecteurs de consulter, avant d'investir, un courtier ou conseiller financier indépendant agréé. Les informations vous concernant ont été collectées en conformité avec les directives de la CNIL, et vous disposez d'un droit d'accès, de modification et de rectification de vos données (art. 34 de la loi ''Informatique et Libertés''). Si vous souhaitez nous faire part de vos nouvelles coordonnées, écrivez au Service Clients : service-clients@publications-agora.fr
vendredi 13 décembre 2013
Qui veut encore de la dette des Etats ?
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
la publication de La Quotidienne d'Agora est le prétexte à la publication des analyses de la PéA, la Philosophie de l'économie Altéférienne.
RépondreSupprimerpour rappeler que le commerce des obligations d'Etat (la mission commerciale de l'AFT) et le volume de son encours ne peut être considéré comme la source de la dette. ce commerce répond parfaitement au principe de la transaction à somme nulle (TSN) à savoir qu'il s'agit bien d'un simple échange de valeur.
la dette de l'Etat se limite strictement à la charge d'intérêts.
vouloir inclure l'encours commercial de l'AFT dans le volume de la dette n'est jamais qu'un mensonge de plus qui ne veut servir que les intérêts du Capital et ses représentants.